“Le mouvement est le principe de toute vie”. La formule de Léonard de Vinci ne s’est peut-être jamais autant appliquée au monde de l’entreprise qu’aujourd’hui. Travail à distance, communications numériques, explosion des plateformes de désintermédiation, adaptation, plus ou moins forcée, à de nouveaux usages façonnés par la crise sanitaire…
Dans ce contexte, si le premier danger réside dans l’immobilisme, le second se niche, au sein des organisations complexes, dans les méandres d’une transformation mal contrôlée. Multiplication des acteurs, manque de rigueur dans la sélection des projets de transformation, organisation opaque ou redondante… sans maîtrise, le risque est grand d’accroître l’entropie plutôt que de mener au but recherché.
C’est pourquoi l’entreprise a besoin d’un véritable centre de pilotage, capable de sélectionner, centraliser et coordonner l’ensemble des projets, moins d’un point de vue opérationnel que d’un point de vue stratégique. C’est la raison d’être du PPM (Portfolio Project Management), souvent confié aux bons soins d’un PMO (Project Management Office), qui caractérise plus une entité organisationnelle qu’une personne isolée.
Parfois injustement confondu avec le seul “chef de projet”, ce service (bureau de gestion de projet en bon français), positionné entre la top direction et l’ensemble des projets d’une entreprise, doit garantir la bonne exécution de ces derniers, la cohérence de leurs synergies, la fluidité de l’exécution, la juste affectation des ressources, et la transparence de la communication.
Cette “tour de contrôle” dédiée à la supervision de l’ensemble des projets de l’entreprise revêt une dimension d’autant plus stratégique que les projets sont nombreux, complexes, et longs à mettre en œuvre.
Dans un contexte d’adaptation permanente et d’accélération du temps de l’entreprise, les PMO doivent être aujourd’hui des entités performantes, capables en permanence de délivrer à tout moment les meilleurs arbitrages.
En apportant en temps réel la bonne information aux bonnes personnes, en monitorant la juste affectation des ressources, en automatisant les tâches à faible valeur ajoutée, en facilitant la gestion de projets et en sécurisant les engagements, EDWARD Suite veut “augmenter” le PMO traditionnel afin de garantir une efficacité maximale, directement contributive à la protection de la chaîne de valeur de l’entreprise.
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